Une bénédiction « Ubi et Urbex »

Expo photos de Thomas Caryn à la GALERIE LE MINORELLE à Marcq-en-Barœul jusqu’au 7 septembre.

« Ubi » car on se demande où sont prises les photos, et « Urbex », parce que c’est évident. Une bénédiction qui n’a rien de papale, mais palpable car on se croirait présent dans ces lieux étrangement hantés.

De magnifiques grands formats sur alu-Dibond.

Les Voiles de Légende Dunkerque 2025

Du 10 au 13 juillet 2025, la célèbre « Tall Ships Races » fait escale à Dunkerque et crée l’événement « Les Voiles de Légende Dunkerque 2025« 

On y admire des voiliers majestueux, on y rencontre des marins du monde entier.

C’est une célébration du patrimoine maritime et l’esprit de la mer dans une ambiance conviviale et inoubliable !

  • Plus de 45 navires venus du monde entier (15 nationalités)
  • 2 000 marins à quai et en parade
  • 600 bénévoles mobilisés
  • 200 apprentis matelots formés sur place
  • 4 jours de fête maritime, de visites, de musique et de rencontres

L’album ICI

Jardin du Mont des Récollets

La ferme du mont des Récollets – Wouwenberghof en flamand –  est un ancien corps de ferme avec un jardin possédant le label «jardin remarquable».

Le jardin est situé à Cassel, sur la route de Steenvoorde qui longe le mont des Récollets.

En 1,5 hectares exceptionnels, vous entrez dans l’imaginaire flamand. Entre « corridors » et « chambres de verdure » vous retrouvez l’univers des peintres primitifs.

 C’est un jardin « Maniériste à la flamande » de type « Bruegélien ».

Emmanuel de Quillacq, maître des lieux confie : « J’ai commencé ce jardin dans l’idée de retrouver nos racines flamandes, celles de la Flandre historique »

Un jardin maniériste à la flamande est un style de jardin qui a émergé aux Pays-Bas méridionaux au XVIe siècle. Il s’inspire du maniérisme italien, un mouvement artistique qui a succédé à la Renaissance, mais avec des adaptations propres à la culture flamande.

Le jardin est conçu comme une scène où le promeneur est invité à découvrir des surprises. On y trouve des grottes artificielles, des fontaines cachées, des automates et des jeux d’eau (souvent appelés « jeux d’esprit » ou scherzi d’acqua) qui pouvaient arroser les visiteurs.

Bien qu’il y ait une structure, elle est souvent perturbée par des éléments inattendus, des diagonales, ou des points de vue forcés qui créent une sensation de déséquilibre voulu.

Des statues sont souvent intégrées dans le décor de manière narrative, représentant des thèmes mythologiques, allégoriques ou grotesques. Les figures pouvaient être déformées ou disproportionnées, typiques du maniérisme.

Souvent situés à proximité de châteaux ou de grandes demeures, ces jardins étaient des espaces privés, conçus pour le plaisir et l’émerveillement de leurs propriétaires et de leurs invités.

Les fenêtres qui parlent 2025

Durant 4 semaines et 5 week-ends, les artistes se sont emparés de plus de 1500 fenêtres, frontières de l’espace privé et de l’espace public !

Par les fenêtres, avec la complicité des habitants, les artistes se prêtent au jeu de la confrontation de leurs œuvres au regard des passants. Ils bouleversent le quotidien. Les rues deviennent alors des espaces à vivre collectivement…

Pour sa 24ème édition, du 3 mai au 1er juin 2025, les Fenêtres qui parlent ont investi 23 quartiers au coeur de 11 communes de la métropole lilloise. J’ai le plaisir d’y exposer 12 photos sur 4 fenêtres du quartier de Hellemmes. Merci à ces 4 habitants !

Le programme complet ICI

Atelier avec Jean-Michel André

J’ai participé, le temps d’un week-end, à un workshop proposé par à Jean-Michel André autour de sa démarche photographique et des thèmes qui la jalonnent. Ces deux jours d’ateliers collaboratifs étaient ouverts à toutes et tous.  Après une visite commentée de l’expo Chambre 207, l’atelier continuait à l’institut pour la Photographie. Et se terminait le lendemain par une lecture de portfolio.

Au salon de la photo de Paris

Ce dimanche 13 octobre, le Salon de la Photo de Paris a fermé ses portes après un week-end à la Grande Halle de la Villette. Un des plus gros événements du genre au monde – parait-il- suite à la disparition de la Photokina de Cologne. On parle de plus de 35 000 visiteurs.

C’est plutôt bon signe pour la photographie cet art, cette passion, ce métier ou ce business bicentenaires.

Ce qui m’a frappé, c’est qu’il y a « des photographies », qui heureusement se croisent et communiquent dans des lieux comme celui ci. On peut se demander, en effet, ce qu’il y a de commun entre

  • la photo « historique du XXè Siècle » exposée dans ses oeuvres classiques,
  • une Instagrameuse qui cartonne avec des « photos vintage » créatives et rigolotes mais n’ayant pas grand chose à voir avec la photo d’il y a vingt ou trente ans,
  • des appareils « Deutche Qualität », ou des téléobjectifs « Made in Japan » à plus de 12 000 €,
  • des accessoires plus ou moins utiles aux photographes du dimanche avec 20% de réduction (*).
  • des types devenus célèbres en faisant de beaux portraits, mais qui n’ont pas pris le melon et partagent leur « trucs ».
  • des images primées par les professionnels de la profession, très professionnelles en effet, mais assez éloignées de ce que qui est promu par les musées ou fondations et exposé dans les festivals.
  • des jeunes gens tout émoustillés quand on parle d’argentique ou de « collodion humide » façon Hermione qui apprend une nouvelle formule magique dans Harry Potter.

C’était juste une réflexion pour résumer les stands que j’ai préféré arpenter durant ma journée parisienne :-).

(*) j’ai acheté, bien que faisant plus de photos la semaine que le dimanche !

A l’année prochaine.

Louis Bertignac à Roubaix

Ce 5 octobre, Louis Bertignac faisait trembler le sol du Colisée de Roubaix.

Bravant les interdictions à l’entrée de la salle, comme un millier d’autres personnes, j’ai pris quelques photos, mais sans téléphone 🤣, ce qui est un comble pour Louis Bertignac.

Qualité du son, une belle voix (c’est vrai qu’il est plus jeune que Renaud…), un public enthousiaste. Un régal pour un très beau concert.

Dans ce « Tour 70 », il reprend en bouquet final les plus grands tubes de Téléphone, et nous raconte un peu sa vie, comme dans le dernier album « Dans le film de ma vie ».

Fan des Beatles, inspiré par les Rolling Stones et Led Zeppelin, on entend aussi Hendrix, les Who, Dylan, Cat Stevens … bref un bain de jeunesse. Dans 8 ans, pour les fan de vinyle, il nous fera peut-être le « 78 Tour »😊.

La Braderie

Comment ne pas poster quelques photos de la braderie ? Le report de la date n’était pas vraiment justifié, mais ça n’a pas empêché le succès habituel. Près de 2,5 millions de visiteurs, 5 340 exposants sur 51 kms d’étals, 3,72 tonnes de coquilles de moules.

Inauguration de l’Expo Vivantes !

Un monde fou ce vendredi 6 septembre au Colysée de Lambersart, l’Institut pour la photographie y avait donné rendez-vous pour le vernissage de sa nouvelle exposition hors-les-murs intitulée « Vivantes! » .

Ce projet réunit une sélection de photos de 8 lauréats de la Grande commande photojournalisme financée par le Ministère de la culture et pilotée par la BnF.

↘︎ Julie Bourges
↘︎ Cédric Calandraud
↘︎ Anouk Desury
↘︎ Olivia Gay
↘︎ Julie Glassberg
↘︎ Ulrich Lebeuf
↘︎ Anaïs Oudart
↘︎ Aimée Thirion

↘︎ Parallèlement à cette expo, Le Colysée présente également une installation interactive de l’artiste Mercedes Klausner, Filtre magique. Qui avait été présentée à la Maison folie Wazemmes en septembre 2023.